Nom de votre personnage: ...
Prenom de votre personage: Merchion
Age de votre personage: 26 ans
Résidence Actuel de votre personage: Dagora
Raçe de votre personage: humain
Armes: -Dague.
-Epée large à une ou deux mains.
Camp: Mercenaires (chef si la place est libre)
Histoire :
Tout commença, fort simplement, par une épée accroché au dessus du foyer qui servait aussi de cuisinière où mère préparait le repas. Cette épée était l'épée de la famille, elle n'avait servie qu'une fois à tuer un autre et c'était, il y de cela, 4 générations. Il se prénommait tout simplement Belyn. Après avoir tué pour la première et dernière fois,il nettoya l'épée et annonça à son fils qu'il se maudissait d'avoir forgé cette épée, pour servir des buts aussi sinistres car que le meutre d'autrui n'apportait rien sinon un immense dégoût de soi. Depuis l'épée, symbole-maudit, de la famille devait se rapeller que la violence ne doit jamais servir à se venger. C'est sur ce principe que la famille tenait sa plus grande philosophie. Rien de très glorieux, vous pouvez vous dire, certes mais le code moral familial commença par ça, bien sûr il y en avait d'autres...
Le jeune Merchion naquit en plein milieu de l'automne. On le considéra pour mort car l'hiver était rigoureux depuis déjà quelques années ce qui avait pour conséquence la mort des nouveaux-nés de l'automne, du moins les plus faibles. Mais cet hiver-là avait été doux, ce qui permit à davantage d'enfants de survivre aux premiers mois. La mère de Merchion fut incapable de donner davantage d'enfants au père du jeune homme, au grand désespoir du reste du clan. Car le père de Merchion était le succésseur de la direction du clan et le fait de n'avoir qu'un enfant n'aida pas sa réputation. Néanmoins, lorsqu'il ne travaillait pas à la ferme, l'héritier du clan observait son jeune fils. Le plus jeune des deux arborait une mine songeuse en presque tout temps même lors de l'entraînement physique afin d'être apte à travailler au plus jeune âge, à la ferme familiale. Très jeune l'entraînement physique ne suffisait plus il voulait savoir combattre. Il avait une soif de combats incroyables comme tout jeunes gens. De son père, ancien soldat de Konemira, il apprit le maniement des armes et s'exercait à l'épée, à la lutte et au javelot. De sa mère, il découvrit les arts, la musique et les lettres... Lors des méditations matinales, au lieu de faire le vide de son esprit il s'imaginait combattre des armées à lui seul, imaginant déjà arborer une ces trophés après chaque combat. Sa jeunesse fut rempli de repas familiaux, de rêve de grandeur héroïque autant en terme de possessions de terre que de combats incroyables, sans oublier le travail de la terre. Passant là bas 8 années de douceur et d'amour, dans ce lieu si serein, si loin de l'agitation frénétique du monde extérieur.
Et lentement, les années passèrent, le dur labeur agricole lui donna un entraînement qui le satisfit, car il avait un corps qui ressemblait davantage à l'image du guerrier de ses rêves. Et plus les années passèrent, plus l'envie de devenir guerrier s'aggrandit, jusqu'à passer comme première préoccupation de lui-même, voir de sa vie. Et par la suite,vint l'attraction envers les filles. Au grand désespoir de son père, son fils se laissa emporter par ses désirs, il était de moins en moins reconnaissable. Et puis les années passèrent, rendant Merchion de plus en plus belliqueux, cherchant querrelle afin de s'entraîner à combattre. Sa famille voyant les changements survenus au coeur du jeune adolescent qui était était maintenant l'archétype du guerrier, recherchant les combats, n'aidant que peu aux travaux de la ferme. Un jour unique arriva dans la vie du jeune homme, son père déccrocha l'épée familiale et la donna d'un air grave, au jeune homme trop heureu de recevoir sa première lame.
-Merchion, je te donne cette lame pour que tu comprenne ce que Belyn a compris en un jour. J'espère que tu comprendras très rapidement qu'un cadeau peut-être à la fois bénéfique et aussi, néfaste.
Le jeune Merchion rit et sortit rapidement. Il arbora fièrement la lame à sa hanche. Celle-ci était de bonne qualité d'après lui. Il se promena dans tout le village afin qu'on la remarque et tomba sur un groupe auquel il s'amusait à leurs dépend. Il leur fit remarquer sa nouvelle acquisition et ceux-ci jugerent le moment opportun de faire comprendre au jeune insolent ce qu'il coûte de s'en être pris à eux par de mauvais tours. Pouvant de plus, prendre l'épée et la revendre. Bref, quelques bénéfices en plus de donner la correction à la peste du village. Ils l'encerclèrent et lui demandèrent de leur montrer sa lame de plus près. Le jeune homme trop heureu de l'attention apportée par son épée, sortit la lame du fourreau quand il se fit bousculer. Se retournant, il donna un coup de poing au visage du premier qui était devant lui. Et la bagarre commença ainsi. Tel qui se l'était imaginé, son premier combat serait contre plusieurs gaillards qu'il allait emporter haut la main, rien de plus facile pour lui, un grand guerrier. Il comprit que son rêve n'était qu'illusion car très vite, il se retrouva par-terre, subissant les coups de pieds des autres jeunes. Prit d'une rage sourde, il s'énerva et tenta de se libérer du cercle d'ennemis en roulant ailleurs. Il réussit temporairement car un de ses adversaires l'avait toujours à sa portée. Sous l'emprise de la panique, Merchion sortit sa lame, plongea et porta le premier coup sur l'ennemi. L'épée transperça quelques côtes et se figea complètement dans la chair de son ennemi. Merchion tourna la lame pour tenter de la sortir, ce qui fit redoubler la douleure de sa victime. Le cri fut tout à fait insupportable....Les autres prirent la fuite face à ce fous, prêt à tuer au lieu de combattre à mains nues. Les autres fuirent tandis que Merchion était encore sous le choc de l'homme qui se trouvait au-travers de sa lame. Le visage figé de son ennemi lui resta en mémoire, les yeux légèrement appeurés face à l'inconnu... Le filet rougâtre sortant de sa bouche, la fraîcheur de son sang sur les mains... Merchion retira doucement la lame du corps. Un dernier soupir se fit entendre. La mort venant de frapper sur son adversaire. Merchion, encore traumatisé par la mort de son premier ennemi, resta la nuit toute entière près du cadavre, ses vêtements imbibés de sang, sur la lame et sur les mains. Il observa le corps, il l'observa longuement....
Il comprit alors beaucoup de choses, il comprit l'histoire de Belyn et les paroles de son père. Il revint après avoir réfléchit et enterré le cadavre. Revenant de nuit au village, entrant tel un inconnu dans la maison de sa famille, il déposa l'épée de ses ancêtres au-dessus du foyer et partit... Il s'engageat quelques mois plus tard au seins d'une compagnie de mercenaires de la cité de Tolfalas. Compagnie commandée par Paros de Mantarys. Munie d'une petite bourse et de quelques vêtements, j'entrais ainsi chez les Nemrods de Pentos. M'occupant essentiellement de l'équipement et des montures des soldats, j'y paufinais également le métier des armes en vue de devenir un futur membre de la compagnie.
Sous la tutelle des soldats j'y appris la langue commune et le maniement des armes comme la pique, l'arbalète, l'arc ou l'épée pour lequel je développais déjà des apttitudes particulières.
Je participais à ma première bataille à l'age de 15 ans, lors d'une campagne dans la grande Forêt Ouest, où je tuais mon premièr homme. Probablement un mercenaire tout comme moi. Cet évênement fut fêter par mes camarades et les vétérans de la compagnie. Puis je pris part à deux autres batailles au court de cette même campagne, ainsi qu'à quelques escarmouches tout au long de l'année. La compagnie prit ensuite ces quartiers d'hiver à Tolfalas où je retrouvais mon père, y apprenant la mort de ma mère quatre ans plutôt. J'y faisait par là même la rencontre de mes deux frères et soeur, Currunin et Della. Au bout de deux mois la compagnie partit pour Azurka, contre qui Tolfalas s'était offert nos service. C'est là-bas, que se joua mon destin... Au cour de la campagne afin de déloger la citée des forces des Enfers et alors que nous fêtions dignement la défaite des troupes déchues dans l'une des auberges en ruine de la citée, l'un de mes compagnons prit à partie l'une des filles de l'aubergiste et voulue la forcer à se dévêtir. Des soldats portant la livrée de Tolfalas s'interposèrent et les lames furent sorties. Au court de cette nuit je tuais deux hommes. L'un de mes compagnons mourru sur le coup, deux autres succomberaient quelques heures plus tard de leurs blessures. L'auberge fût brulée, les filles de l'aubergiste violées et les hommes d'armes massacrés...
La sentence prévue pour un tel crime était l'exécution... Car les seigneurs de Tolfalas ne prennent point les meurtres à la légère. Surtout lorsqu'il s'ajit de leurs hommes. Je volais un cheval et partais la nuit même pour Dagora sans demander mon reste. Je fus intégrer chez les mercenaires de Merenid Ihlysthin, à la solde du Seigneur des Enfers. Mes propres ennemis... Gravissant les échelons rapidement par des moyens plus ou moins honnorables, j'atteignais le cercle restreint des officiers de Merenid et parvenais enfin à mes fins en m'emparant de sa place de chef.
"Marche avec eux, mange avec eux, bats-toi dans leurs rangs, et regarde de tous tes yeux" m'étais-je imposé, par les 7 je le jure! Je suis encore en vie et j'ai soif de gloire et de sang! Des alliances se forgent dans l'ombre et ceux qui savent manier l'épée seront recherchés par tous. Car telle est mon époque, une époque sombre et sanglante, une époque de démons et de sorcellerie, une époque de batailles et de mort...
Signe(s) Particulier(s) : Il porte la chevalière en or de Merenid l'ancien chef des mercenaires, à l'annulaire droit, symbole de son rang de Seigneur mercenaire.
Description physique:
Devant vous, se tient un homme d'apparence froide...Vous sentez cette aura inquiétante? cette odeur de sang? C'est ce que Merchion dégage, sans doute il n'est pas recommandé de se fier à lui et vous le savez rien qu'en le regardant... Il semble être penché sur...un..un cadavre? que fait'il? il lèche une des plaies de sa victime et soudain il se redresse et vous regarde, ce visage pourtant si serein qui jusqu'à présent était caché sous la capuche d'une cape noire, vous ai enfin dévoilé... Ses yeux légèrement en amende sont d'une couleur rougeâtre pas du tout rassurante et ce regard semble vouloir vous percer l'âme... Et pourtant il ne faut pas nier que cet être à la peau pâle qui semble ne pas avoir vue la lumière du jour depuis longtemps, possède un charme exceptionnel, sa silhouette est fine, ses habits riches, on dirait un noble elfe damné... La capuche se retirant grâce aux soins de ses doigts fins et de ses gestes subtiles, il vous permet de voir ses longs cheveux blonds et au niveau de son oeil gauche vous pouvez voir qu'il à une marque rouge, qui pourrait sans doute passer pour un tatouage, peut être que s'en est un... Mais vous n'osez pas l'approcher... on dirait qu'il mesure 1,85m à peut près et il doit peser 78kg à en juger par sa silhouette... qu'allez vous faire à présent que les brumes qui avant n'existaient pas, se lèvent autour de vous?
Description mentale:
Merchion est un homme des plus froids et manipulateurs... Il n'a sans doute aucun scrupule, quand il désire faire quelque chose comme la plupart du monde sur terre il ne se gêne pas pour le faire, protêger la veuve et l'orphelin ne fait pas partie de ses projets de vie, il préfère la phrase: "tuer la veuve et l'orphelin si cela te rapporte quelque chose et sinon fait le pour le plaisir". On peut dire que c'est le typique méchant sans scrupules qui ne parle pas très souvent et quand il parle ce n'est jamais bon signe... Il est plutôt très solitaire malgré tout et adore la nuit et la guerre par dessus tout, un bon combat pour lui n'est jamais de refus, et il préfère les coups bien portés au lieu des longs discours qui ne mènent à rien. Il n'a pas tendance à tolérer qu'on le colle de trop prés, ça l'exaspère et pourtant il semble être froid et impassible à tout moment. Il faut aussi dire qu'il à des tendances sadomasochistes ce qui peut en exaspérer quelques uns puisqu'il à tendance à rire quand on le cogne ou à gémir et pas forcément de douleur, plutôt grâce à un plaisir malsain et à la douleur mélangées... Il se sent attiré par tout ce qui est sombre, car le sang l'attire aussi sans doute... Et pourtant, qui l'eut crut, mais cet être qui ne semble pas posséder d'âme, peut s'attacher à certaines personnes...
