Un rendez-vous nocturne

Une ombre se déplacait dans les bois qui longeaient Celduin, la grande rivière qui séparait les deux parties: d'un côté l'est , refuge des Elfes de la Nuit et créatures du Jour. et de l'autre côté : L'ouest et les contrées dirigées par Dante, seigneur du Paradis des Enfers..
Aucunes créatures, munis d'un minimum d'intelligence ne s'aventurait trop près de cette limite, craignant d'y perdre la vie. Mais il avait été découvert, plusieurs années auparavant des cadavres puants d'elfes de la nuit qui avaient tenté de retourner dans leur contrées après s'être trop aventurés sur les terres de Dante. Leur chaire avait été dévorée les Rasphack, des necrophages aussi rapide que l'éclair lui-même. Leur yeux avaient été arrachés sans aucunes pitié : les Elfes déchus avaient donc tentés de les interroger. Peut-être que leur supplice avait été terrible..Peut-etre avaient-ils dévoilés des choses qui auraient dû rester secrêtes.. mais peu importe.

L'ombre continuait de marcher en direction de la rivière, d'un pas rapide et souple. elle se retournait de temps à autre pour regarder si elle n'était pas suivie. Ce n'était pas rare qu'Arianne la fasse suivre.. Pauvre Jyha, pauvre d'elle , se retrouver dans cette situation, était la pire chose qui puisse lui arriver.
Vêtue d'une grande robe de cérémonie de couleur noire, la Jeune reine avait quitté sa grotte lors de la tombée de la nuit, sa longue cape couleur d'orage recouvrant toute sa silhouette. son visage était enfoui sous son capuchon. On ne pouvait pas voir le visage de la reine qui avait prit au moins 20 ans avec l'annonce de tout ces evenements...
La jeune reine avait fait parvenir a Dante une lettre.. Anonyme bien sûr. elle avait envoyé un oiseau au camps de L'ouest. le malheurex volatil devait s'être fait percé d'une fleche, puisqu'il n'était pas revenu.. Mais jyha s'en inquiétait peu, elle s'inquiétait surtout de savoir si Dante n'avait pas été trop stupide pur ramener une troupe d'Elfe déchu avec lui.. " Il faut que nous nous voyons.. lorsque la nuit sera tombée et la lune haute dans le ciel, retrouvons nous a Celduin.." si il avait prit cette lettre comme pour un message d'attaque.. il avait véritablement un problème ce jeune homme..

Jyha arriva alors , hors des bois..la rivière coulait et un léger clapotis en ressortait. Cette ambiance était magique, un peu de paix dans ce monde déchiré par une guerre qui dure depuis dejà bien trop longtemps..un peu de paix qui apporta un grand réconfort à cette âme blessée.. L'elfe s'approcha de l'eau, ses pieds nus touchèrent alors l'eau glacée, elle souleva sa robe et les pans de celle-ci lui arrivèrent au dessus des genoux. Et la femme se mit à marcher dans l'eau trouble. Sa longue cape avait été déposée sur la berge. elle attendait Dante.. elle ressentait cette chaleur, son ventre se nouer.. pourquoi ? pourquoi s'était-elle éprise de lui ? pourquoi lui ?

Trois silhouettes chevauchaient vers le Celduin. La plus grande des silhouettes chevauchait un haut cheval noir, et menait les deux autres. Ils étaient tous encapuchonnés, et chevauchaient à vive allure à travers la forêt. Puis il déboulèrent dans la vallée du grand fleuve et allait le longeait jusqu'au vieux chêne, lieux de rendez vous préféré des Rois Ennemis. Mousaï avait insister pour que Dante ne sorte qu'accompagné. Celui ci trouva cette précaution inutile, mais soit... il avait accepté.

Sur le chemin, Dante pensait à l'expéditeur du message. Il pensait à Requiem, son bras droit qu'il n'avait pas vu depuis maints et maints semaines, ou Menerid, chef des Mercenaires qui lui désobéissaient à présent. Mais Dante, au fond de lui, espérait revoir celle qui l'aimait, la seule depuis Akasha, son ancienne fiancé, à avoir su dompter son coeur. Celle qui était pourtant son ennemie mortelle, mais celle qui lui donnait envie de vivre.

Bientot ils arrivèrent enfin au lieu de rendez vous. Dante ralentit le pas, et ses gardes aussi. Alors, il vit l'Elfe qui était en train de se baigner, au loin. Dante la reconu immédiatement Jyha, la Reine des Elfes de la Nuit. Un des Elfes Déchus la reconnut aussi, sembla-t-il, car il regardait à présent son Roi avec un air appeuré. En effet, bien qu'étant un femme, Jyha était crainte parmis ses ennemis de par sa grande puissance magique. Dante sortit alors sa lame, Anduril, et trancha la tête de son garde. Le second pris peur, et fit demi tour, et essaya de partir au galot. Mais le Roi du Paradis des Enfers pris son arc, et tira une flèche qui transperça la tête du Garde. Deux de ses meilleurs gardes... Morts... et de sa main. Une perte certaine pour Dante, certes, mais necéssaire. Alors, il descendit de son cheval, et s'avança vers l'Elfe, en silence. Puis, étant à quelques metres du fleuve, il lui lanca

Bonsoir, chère Reine...

Jyha se retourna après avoir entendut une voix grave.. Grave mais presque suave a son oreille.. Dante, cela ne pouvait être que lui, dans cette obscurité, dans ce noir complet. Qui aurait put venir mise à part lui ? Jyha se retourna et vit se dessiner dans la sombre pénombre une silhouette, une grande silhouette placée sur l'autre berge , sur le côté Ouest de la rivière.
La jeune Reine resta là, dans l'eau glacée malgré le vent doux qui faisait virevoletter ses cheveux couleurs de lune. Ses mains étaient restées serrées sur les pans de sa robe.
Son regard était emplis de tristesse, mais en même de joie. Une joie intense de le retrouver lui.; bien que pendant toutes ces années, elle l'avait haïs..

" Bonsoir, Ô dante.. ravie de voir que tu es venu seul. pendan un instant j'ai eu peur que tu ne sois venus accompagné de tes sbires. Ou peut-etre, ceux là sont dissimulés.. qui sait ?"

Dante s'approcha un peu plus encore de la berge, et s'assit sur une vieille souche. Il observait Jyha, sa pire ennemie, un sourire au lèvre. Enfin, il l'a revoyait. Depuis toutes ces semaines qu'il pensait à elle. Il avait longtemps erré dans les rues d'Azurka, souhaitant en secret la revoir. Mais non. Il s'était parfois même aventuré sur ses terres, et tués des Elfes de la Nuit, mais jamais il n'avait revu Jyha. Il lui dit alors

Oh, il y en a deux qui sont venu avec moi. Mais, malheuresement pour eux, jamais ils ne reverront nos terres.

Il crut apercevoir un air de dégout sur le visage de la Reine, mais ne dit rien, se contentant de garder son sourire sur ses lèvres. Il pensait déja à ce que dirait son père, qu'il avait eu raison, car Dante s'était fait attaquer. Mais pour le moment, tout ce qu'il souhaitait, c'était rester le plus longtemps possible avec Jyha. Il lui dit alors

Alors, Majestée, pourquoi m'avoir fait venir ici? Pour me tuer?

Il savait très bien que jamais elle n'avait eu l'intention de le tuer, mais cette réplique ironique le fit sourire.

Aux paroles de Dante, Jyha abaissa son beau visage.. Tuer.. Oui tuer, elle aurait dû le faire depuis bien longtemps dejà. Elle en avait eu l'occassion, si.. si il ne l'avait pas embrassé, si elle n'avait pas sentit son corps, ces mains serrant fermement ses poignets et sa langue aventureuse sur ses lèvres et dans sa bouche, son cou.. Elle aurait pût, elle aurait dû...Pendant un moment, la Jeune reine s'en était voulu, mais à quoi bon ? Le passé était le passé.; il fallait avancer avec les heures et les jours et aller de l'avant !

La superbe elfe, continuait de marcher dans l'eau cristalline, sans trop s'approcher du bord, quelque peu méfiante.

"Si la lettre que je vous ai fait parvenir n'avait que pour but de vous amener jusqu'ici afin de vous tuer.. Je pense que de toute manière je vous aurait croiser dans la salle du Trône d'Azurka, là où vous pensez un jour vous asseoir..Mais je doute que ce jour arrive, Ô roi"

Jyha avait parlé calmement, sans aucune colère ni rage. Mais presque avec une certaine douceur, une amabilité peu ordinaire. La reine tournait et se retournait dans les eaux peu profondes de Celdiun.. Elle remonta sa robe encore plus haut puisque les remous de ces eaux venaient à mouiller les pans de couleur sombre

" Pourquoi ? Et bien.. enfin.; Cette nuit où vous m'avez embrassée.; vous souvenez vous ? cette nuit où je vous est repoussé à maintes reprises ?"

Dante avait toujours ce sourire malicieux aux lèvres, voyant l'aiposée que prenait la Reine. Il se rappelait, bien entendu, chaque seconde passée avec la Reine, la douceur de celle ci, mais en même temps, la rudesse qu'elle s'appliquait à prendre à chaque baiser qu'elle donnait au Seigneur du Paradis des Enfers. Le Roi s'assit près d'elle, trempa sa main droite dans les froides eaux du Celduin, et en en appliquant sur sa nuque. Puis, en passant un peu dans ses cheveux, ceux ci scintillèrent sous la lune. La beauté qui se dégageait du Roi était plus qu'impressionnante. Il répondit alors

Je sais que je m'assierais un jour sur le trône d'Azurka, mais je ne souhaite débattre de cela ce soir, et surtout avec vous, car nos avis divergent, nous le savons, tous les deux...

Il observait la silhouette gracieuse de la Reine des Elfes de la Nuit qui se mouvait dans les eaux sombres du fleuve de Konemira. Il voyait petit à petit Jyha qui remontait sa robe, et ceci ne fit qu'attiser sa soif "masculine"... Il répondit alors à la princesse, au sujet des souvenirs

Bien sur que je me souviens de ces jours où nous nous sommes rencontrés. D'abord dans les ruelles sombres, puis dans la salle du Trône d'Azurka. Je me souviens que votre esprit vous ordonnez de me repousser, mais que votre coeur vous disait le contraire. Je me souviens avoir poser mes lèvres sur les votres... oui, je me souviens...

Jyha baissa la tete. pas de honte mais elle ne savait plus quoi faire, que répondre au roi ? à ce roi qui la mettait inévitablement dans tout ses états.. Elle n'allait pas lui sauter dessus tout de même.
La reine, mise à part, ce petit tracas s'amusait énormément à entrevoir le Roi qui déglutissit avec mal, lorsqu'elle relevait de plus en plus sa robe. Les pans de couleur nuit lui arrivait désormais à mi cuisses et les bretelles de celle ci, laissaient deviner les formes de sa poitrine généreuse.

L'elfe regarda les rayons de la nuit se réfléter sur la chevelure blanche du Roi.. à ce moment présent de leur rencontre, elle pouvait voir la beauté physiqeue du Roi, cette grandeur, cette préstance. Sa silhouette entièrement recouverte de la douce lumière de l'astre de la nuit.

La jeune reine vit le Roi du Paradis des Enfers, se glisser à son tour dans l'eau froide de Celduin. elle était appeuré et en meme temps pressé que les choses s'accelèrent.; mais elle resta stoïque

" Et bien.. lors de cette nuit, vous avez déclaré la guerre.. vous avez..comment dirais-je.. Attisser le feu de la haine qui se consumait dans mon âme.. et vous avez signer votre arrêt de mort et..

* pauvre sotte.. tu dis n'importe quoi, tu te mélanges, tu bafouilles.. prends tes réponsabilités Jyha !*

Le Roi, emportait par les douces mains de la Reine des Elfes de la Nuit, se glissait aussi avec grace dans l'eau. La question que tout le monde se posait, et que la Reine devait certainement, elle aussi, à ce moment là, se poser, c'était comment une silhouette aussi impressionnante pouvait se déplacer avec tant de fluiditié. Ses mouvements n'étaient pas brusques ni rustres. Ils étaient gracieux, doux. Voir le Roi du Paradis des Enfers se déplacer était toujours un plaisir doux pour les yeux. D'ailleurs, les siens, tels deux emeraudes verts, observait avec envie la Reine. Toutefois, le Roi dénota une chose. C'est que la Reine n'avait pas contredis ses paroles. Elle n'avait pas réfuter le fait que son coeur avait bel et bien envie de lui, lors de la rencontre dans la salle du Trône. Et ceci amusa quelque peu le Roi. Aussi, lorsqu'elle lui dit qu'il n'avait fait que déclarer la guerre, non sans bafouillement, le roi posa un doigt sur la bouche de la jeune reine, et lui chuchota

Cessez de dire des choses alors que ous ne les pensez pas. Votre coeur a, il est vrai, souhaité ma mort, et la guerre. Mais à présent, il ne désire que la vie, et la paix entre nous. Votre coeur m'appelle, et j'entends son appel. Car le mien vous appelle aussi. Mais que peut on bien faire? Je n'ai guère envie de me retrouver à nouveau avec une lame sur la gorge. Alors, je ne tenterais pas de vous embrasser aujourd'hui.

Il se recula de quelques metres, revenant vers la berge, sur laquelle il s'assit, attendant la suite des évenements, et surtout la réponse de Jyha...

Jyha était éberluée, là, à ce moment bien présent, elle n'osait plus bouger. elle avait sentit le doigt de Dante se poser doucement sur ses lèvres. et sa bouche lui susurant ses paroles, qu'elle buvait comme l'hydromel lui même. elle avait fermé les yeux et avait sentit le souffle chaud de Dante sur sa gorge, ses doigts avait rapidement parcourut son visage, puis tout les mouvement s'étaient stoppés.

En réouvrant les yeux, Jyha vit son "ennemi" retourner sur la berge. L'histoire de la lame sous la gorge, fit quelque peu sourire la Jeune reine qui se souvint alors de cet épisode. mais à ce moment là, Jyha n'était pas armé, tout son apparat avait été déposé sur la berge voisine. Le roi, alros en craignait pas de se retrouver embroché tel un porc.

La reine s'approcha du roi, enfin de sa silhouette. Il avait eu raison en disant le coeur et l'âmê de Jyha l'appellait et la reine avait frissoner en entendant qu'il répondait à son appel.. Elle savait que le Roi était armé mais qu'il ne ferait rien.. rien tant qu'elle de son côté de lui sortait pas une épée de on-ne-savait-où.
Elle s'allongea aux côté de Dante sans pour autant etre trop proche, environ espacés de 4 mètres, les deux silhouettes semblaient s'ignorer.

" Mais où pourrais-je cacher une arme ? elles sont restées là bas, sur la berge de l'autre côté, je n'ai aucunes ceinture, aucunes flèches.. je n'ai rien.. mais vous, vous etes armés ! Votre épée, vos dagues et j'en passe ! Ce serait a moi d'avoir peur. Mais prennez la peine de vérifier si vous ne me faites pas confiance"

tout en disant cela, la reine avait plongé son regard dans celui du Roi, et elle s'était allongée telle une statue de pierre, immobile

Je vous crois, ô ma Reine, et je n'ai nulle intention de vérifié en osant toucher votre peau si douce...

Dante se leva alors, dominant de sa taille toute la plainte. Il regardait maintenant son cheval. Il siffla alors dans la nuit étoilée. Un long sifflement doux, mais qui semblait contenir des paroles. Le Cheval se cabra alors, et partit au galop. Le Roi se retourna vers Jyha, et sortit ses deux dagues, qu'il planta dans la terre. Il enleva son arc et son cartois qu'il déposa à terre. Enfin, il déboucla sa ceinture. Son épée, qui était au fourreau, tomba lourdement au sol.

Il revin alors auprès de la Reine, et s'assit juste à ses côtés. Puis, l'observant droit dans les yeux, avec une envie incommensurable de l'embrasser, il lui chuchota

Je ne suis plus armé non plus, vous voyez...

Jyha regarda, éberluée l'homme se défaire de toute ses armeSs. ça devait simple pour le cheval de suporter tout ce poids de fer en plus de celui du cavalier..
Elle énumera ce qu'elle voyait, dague, épée, carquois... Il était vrai que les Elfes Déchus n'avaient pas énorment de pouvoirs.; enfin moins que les Elfes de la Nuit et beaucoup moins qu La reine elle meme.

L'elfe de la nuit, regarda Dante faire et à son tur défit la ceinture sous sa potrine et en sortir une dague.. enfin semblait-il. mais la réalité étéit tout autre, c'était une épée retractable.. Invention d'Archess ! et elle la planta non loin d'elle

"Là nous sommes bel et bien à égalité"

La reine s'approcha de Dante et se stoppa a quelques centimètres de lui, et de son visage. leurs lèvres se touchant presque.. La reine attendait.. un sourire malicieux au coins de sa bouche.

"Je ne bougerais plus,ô mon roi.."

Ainsi, la reine l'avait trompé. Elle se disait non armée, mais en avait bel et bien une. Peut être en avait-elle une autre... non, Dante en doutait. Certainement pas. Aujourd'hui, les intentions de la Reine n'étaient pas hostiles vis à vis du Roi, bien au contraire. Le Roi vit ensuite Jyha se rapprocher de lui, leurs lèvres si proches. Mais il était bien décidé à tenir parole, malgré l'ébulition de son sang, il ne l'embrasserait pas avant elle. Il l'avait dit, il le ferait. Alors, lorsqu'elle murmura, qu'il sentait le doux souffle de la reine sur sa bouche, la chaleur qui s'échappait du corp sur la Reine et qui "buttait" sur le sien, Dante ne bougeat pas, non sans effort. Son coeur lui disait de l'embrasser, son esprit aussi. Pour une fois que Coeur et Esprit étaient d'accort, le Roi du Paradis des Enfers n'en fit rien. Rien... Et il le fit savoir à la Reine

Et bien, je ne bougerais pas plus que vous. J'ai dit que je ne tenterais pas de vous embrasser avant vous, je tiendrais parole. Car j'ai un honneur, et les hommes d'honneur n'ont qu'une parole. Ainsi, si vous ne vous décidez à rien faire, il se pourrait que cette nuit ne tiennent tous les espoirs que vous y avez mit. Car même si je ne sais pas exactement le but de votre mesasge, j'en devine les entre lignes. Alors, qu'attendez vous?

Le Roi n'approcha donc pas plus son visage qu'il ne l'était de la Reine, ni ne le recula d'ailleurs. Il se contentait de sourire, mais pas le sourire qu'il avait si souvent aux lèvres, celui qu'il avait juste avant de commettre un meurtre. Celui ci était profond, et sincère, et emplit d'amour. L'amour... il semblait le découvrir mais pourtant... jamais il n'avait oublié Nylen... son premier amour, qui fut tué par des Elfes de la Nuit... Mais ce qu'il vivait aujourd'hui, et qu'il éprouvait pour Jyha était tout autre... C'était un amour beaucoup plus... passionnel!

Jyha aurait dû s'en douter.. Dante ne ferait pas un pas de plus, il ne ferait rien.. enfin un pas.. un mouvement de plus. il resta sur place et attendait.. attendait que Jyha se décide enfin. La reine était encore partager par l'amour.. le plus profond des amour possibles dans ce pays. Ce désir qui brûlait au fond d'elle.. Ce désir de sentir l'elfe sur son corps, son corps entre ses cuisses.. De sentir les mains de Dante sur son visage sur sa poitrine.; Ce désir fou qui monte , monte et qui ne descendra une fois l'acte terminé... mais la part de honte de Jyha était encore là.; elle avait envie de pleurer, ainsi elle trompait sa race.. elle trompait ses troupes, mais Dante faisait de même et.. l'Esprit lui meme , lui avait dit ses troupes lui donnerait raison...

Ses troupes, ses soldats.. Jyha avait une pleine et entière confiance en eux. Ses soldats, tout ces elfes qui se battaient pour voir triompher la lumière et la grande et jeune Reine Jyha !
Mais Jyha se sentait coupable.. coupable de mettre cette confiance sur un pied d'estale.. Coupable de ne pas se montrer digne de son titre.

Mais à ce moment le désir était plus fort que tout. Jyha se pencha vers Dante, ferma les yeux et gouta ses lèvres.. Ce gout aussi pimentés que doux alors raviva son petit coeur dejà bien échauffé. elle sentait ses lèvres humidifiées pas l'eau se coller sur les lèvres encore sèches de Dante.

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